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Village de Roquebillière
Le glissement de terrain de novembre 1926
Carte postale, Coll. C.E.V.

Le village de Roquebillière apparaît pour la première fois dans des sources écrites en 1147, sous l’appellation de Rocabellera. Mais l’histoire du site, sans que l’on puisse peut être parler de village, est bien plus ancienne.

Pour en expliquer l’appellation, il faut sans doute faire appel à la racine pré-indo-européenne B.E.L. déterminant une position particulière du lieu par rapport à la roche éponyme. De fait, cette caractéristique se retrouve dans toute la Vésubie, prouvant une organisation antérieure aux Romains.

Une seule mention archéologique reconnue nous permet d’affirmer cette présence dès l’époque Proto-historique.

Le village médiéval n’est pas à l’emplacement du Vieux village. Il se trouvait sans doute à proximité du site du Caïre del Mel, sur lequel le place la légende. Au XIIIème siècle, on parle alors d’un castrum. Un château y est alors élevé, qui appartient à la famille des Grimaldi de Beuil au XVIème siècle, avant d’être cédé définitivement au duc de Savoie.

L’Ordre des moines soldats des Hospitaliers s’y installa dès le XIIIème siècle, à la suite de la restauration du pouvoir comtal. Ils possèdent alors l’église, qui pourrait se trouver sur l’emplacement actuel de Saint-Michel.

Il faut sans doute voir dans l’assimilation des deux ordres l’origine de la légende des Templiers à Roquebillière. Mais une autre légende rappelle le temps de la première Christianisation, celle du Martyr de saint Julien, patron de la Commune, qu’il maudit pourtant à être détruite Sept fois... Peut-être faut-il simplement rattacher cette légende aux autres attributs de saint Julien l’Hospitalier, connu pour avoir été un passeur de gués. Ce qui expliquerait plus assurément le site de l’église Saint-Michel.

Après de multiples « déménagements », Roquebillière marqua une nouvelle fois l’histoire par la catastrophe de 1926, qui ruina définitivement le village d’alors, celui que nous nommons « le Vieux ». Dès les années 1930, un nouveau site ayant été choisi, le « Nouveau » Roquebillière s’installa sur le plateau du Cros, où il se trouve toujours.


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