MARDI 4 AVRIL
Ordre du jour :
Vote des Tarifs pour l’édition de la souscription.
Les éditions du Cabri proposent le tarif suivant :
35 355 francs pour 1000 livres brochés
37105 francs pour 1000 livres cousus
(Mais réduction pour le cahier images prévu pour 24 pages, qui passe à 16
pages)
Un présentoir pour la librairie. Un dépôt vente des éditions Cabri avec
25 % reversés au musée.
Mettre un ISBN, pour pouvoir vendre la revue dans les commerces :
- Quel contrat de partage des droits
- Quelles conditions pour un retirage
Les éditions du Bergier proposent le tarif suivant :
30 000 francs pour 1000 livres collés.
Les Editions du Cabri sont choisies pour les avantages qu'elles
proposent et qui seront autant de revenus pour le Musée.
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MARDI 6 JUIN
Etaient présents :
GILI Eric, Président
MERCADIER Daniel, Trésorier
DUGEAY F-B, Secrétaire Général
ISNART Cyril, Chargé de la conservation
GIUGE Henri, Vice-Président
CORNILLON Jean Marie, Vice-Président, qui doit quitter la séance très tôt,
et donne pouvoir à M. MERCADIER Daniel
M. GILI Eric, Président ouvre la séance à 20 heures.
M. CORNILLON, devant partir, prend la parole pour faire le point sur
le projet Roquebillière, et se plaint du manque d’équipement informatique
du Centre d'Etudes Vésubiennes, devant fonctionner sur les propres
ordinateurs individuels des membres, sous-équipés. Il donne pour exemple
la difficulté de remplir graphiquement les images scannées du vieux
cadastre de Roquebillière, qui prennent plusieurs dizaines de minutes
pour simplement afficher une couleur.
Il rappelle le projet d’exposition en partenariat avec la Chapellenie,
qui met en place un site d’exposition dans l’ancien presbytère de
l’église Saint-Honorat.
? Décisions du lancement et du prix de vente au public de la revue Pays
Vésubien :
Une première épreuve devrait nous parvenir d’ici peu, il faudra la
corriger assez rapidement afin de lancer définitivement l’impression. Le
prix de lancement a été voté à l’unanimité pour un montant de 120 francs
au lieu de 100 francs. Il est convenu de remercier les personnes qui ont
bien voulu nous faire confiance en souscrivant, à un prix de 70 ou 80
francs, ce qui leur donne un avantage certain.
? Dossier de la Châtaigneraie :
M. GILI rappelle les faits. Ce dossier ressort sur l’Hôpital, avec une
sortie prévue pour les pensionnaires sur les lieux. M. GILI n’est pas
informé de cette sortie, et s’inquiète de savoir si elle aura lieu sur
son terrain du Cros. Il rappelle qu’il a été proposé à M. DESRAYAUD
(absent ce soir) de refaire le dossier, mais à ce jour, aucune nouvelle.
Le Bureau décide de mettre ce dossier en veille, afin de le reprendre
avec ou sans la participation de M. DESRAYAUD, et ce, jusqu’à ce qu’un
membre dûment habilité ait accepté de s’en charger.
? Membres n’ayant pas renouvelé leur adhésion :
Certains des membres présents ce soir, ont réglé leur adhésion
immédiatement. Mme GILI fait l’état des anciens membres n’ayant pas
renouvelé leur cotisation cette année. M. GIUGE souligne qu’il s’agit
surtout de membres « historiques », ayant appartenu à « l’ancienne équipe
», et rappelle, en accord avec les membres présents, qu’il n’y a pas eu
de « rupture », mais plutôt une véritable continuité donnée grâce au
choix de Mme MOUTON pour que le Musée continue à vivre et à se
développer, et cela en toute conscience, sans avoir jamais à l’esprit de
léser quiconque. Le mode de fonctionnement de l’Association est avant
tout démocratique et ne saurait rejeter quiconque, bien au contraire.
? Actions Lantosque :
Il est rappelé qu'il s'agit d'un travail d'équipe, sous la direction
conjointe du Président et pilotée par le responsable local, en
l’occurrence, M. MERCADIER, Trésorier. Sur demande de Mme BRUN,
conseillère Municipale de Lantosque, il a été organisé par nos soins une
soirée sur le thème du Trevelin, qu’une recherche pédagogique avait
permis de retrouver sur Belvédère à l’époque du Carnaval 2000. Un
diaporama avait été préparé, une communication, le montage de panneaux
d’exposition et des objets du Musée avaient été présentés ce soir là. Une
discussion avait à l’issue été organisée avec le public.
Les membres du Bureau s’étonnent du peu de cas qui a été fait du travail
de fond réalisé par le Centre d’Etudes, qui intervenait en tant que
collaborateur culturel de la Municipalité avec tous les éléments
précités. Ils réclament qu’une véritable négociation soit engagée avec la
Municipalité de Lantosque pour obtenir une reconnaissance de son travail.
M. GILI précise que le C.E.V. n’a pas demandé de rémunération, et
n’attend pas, selon les affirmations de M. le Maire, le versement d’une
subvention qui aurait pu être un élément de reconnaissance. Il précise
que certaines communes (Belvédère et Roquebillière) le font déjà, alors
que nos actions y sont moindre. M. GILI en profite pour les remercier de
la confiance et de la reconnaissance dont elles font preuve envers nous,
et rappelle que le but de l’A.MONT est de devenir le partenaire culturel
de toutes les communes de la vallée.
Il est fait le reproche à M. GILI de l’absence de mention explicite de
notre travail dans la presse, que ce soit Nice Matin, où le C.E.V.
apparaît succinctement et n’est en rien indicateur du travail réalisé, où
aucun intervenant n’apparaît sur la photographie. Que ce soit dans Lou
Vesubian où seul le C.E.V est cité pour la soirée Conscription. M. DUGEAY
rappelle que tout le monde ne sait pas identifier le C.E.V avec le Musée,
et qu’il est important de rappeler qu’il s’agit d’une gestion associative
et non pas municipale. Enfin, que dans l’annonce de l’Ethno-site, il ne
soit pas fait mention du Musée ni de son Centre d’Etudes, qui sont
pourtant mobilisés totalement pour que soit réalisable ce projet. M. GILI
répond qu’il n’a pas été consulté avant envoie aux différents médias, et
que l’A.MON.T. n’a aucun regard à porter sur ces éléments de
communication, se référant généralement à la déontologie habituelle. Les
membres du Bureau refusent de voir dans ces éléments une manipulation de
notre travail, et mettent plutôt cette « maladresse » sur le compte d’une
absence d’habitude de travailler avec nous, ce qui s’explique
naturellement. Ils espèrent que de tels dérapages ne se reproduiront
plus, et M. MERCADIER s’engage à négocier ce déficit d’image auprès de la
Mairie, qui est pour nous crucial. Avec M. GILI, il rappelle que le but
de ces soirées n’est pas pour nous financier, mais doit permettre de nous
faire connaître et de recevoir l’adhésion, ne serait-ce que morale, du
plus grand nombre envers nos travaux et nos méthodes de recherche.
Mme BRUN avait proposé de réalisé une nouvelle soirée, du même type, sur
le thème des Conscrits. Le Bureau s’étonne du peu de cas, une nouvelle
fois, qu’il est fait de notre participation, seulement évoquée, comme il
serait fait d’un quelconque partenaire extérieur, et non pas d’un
co-organisateur. De plus, il est considéré que le thème choisi serait un
avant-goût de notre exposition, et pourrait peut être trop dévoiler notre
travail. M. GILI précise qu’il ne s’agit que d’un travail de recueil
d’informations, qui présenterait les grandes lignes de la Conscription,
et non pas de notre exposition, ce qui n’est pas envisageable.
La soirée, prévue le 30 juin est, de plus, désormais trop proche pour que
soit organisé un travail de fond tel que nous avons l’habitude de le
préparer, la cause de ce retard étant à rechercher autour du projet de l’Ethno-site,
qui a mobilisé stérilement nos énergies pendant une période trop longue
jusqu’à obtenir l’ouverture du terrain. Depuis, tous nos efforts se
portent à cette réalisation, afin que les élèves de l’Atelier Patrimoine
du Collège puisse réaliser leur projet
La réalisation de l’intervention du 30 juin est mise aux voix. Un premier
vote donne une majorité absolue de 4 voix contre et 2 abstention. M.
MERCADIER propose alors que soit revue la proposition à faire à la Mairie
de Lantosque, selon l’établissement d’un véritable partenariat, qui
devrait nous permettre d’avancer vers une collaboration culturelle. M.
GILI l’appuie et affirme qu’il est de première importance pour nous de
travailler main dans la main avec les différentes mairies, par choix non
pas politique ni financier, mais institutionnel et moral, la Mairie étant
le partenaire naturel de notre travail. Il est donc fait une
contre-proposition afin d’assurer :
? Un travail d’équipe, en relation étroite avec la Mairie
? La mention du musée sur toutes les affiches, articles et autres
supports de communication
? Une date à trouver après l’inauguration de notre exposition
Il est proposé que, si la Mairie désire maintenir la soirée du 30 juin en
partenariat avec nous, certains membres puissent intervenir, non pas
comme organisateur (comme ce fut le cas pour la soirée Trevelin) mais
comme participants actifs, pour des raisons de délais aujourd’hui trop
précipités.
Il est enfin demandé que soit officialisé les rapports avec la Mairie de
Lantosque, qui sont aujourd’hui trop informels, par le renforcement du
correspondant local qui doit devenir, selon notre Règlement Intérieur
actuellement en élaboration, le véritable interlocuteur sur site.
? Exposition des Conscrits et Chasseurs Alpins :
Le sujet a été un peu dévoilé lors de la visite de M. Gaston FRANCO et
l’équipe qui s’occupe de la muséologie du centre du loup.
M. ISNART précise qu’il sera disponible pour aider à la mise en place des
expositions dès le 20 juin. La date étant tardive, il est convenu qu’une
partie du travail soit réalisé au plus tôt, c’est-à-dire ces week-end et
certaines soirées. Il est prévu la journée du 24 juin prochain pour
commencer l’installation du rez-de-chaussée et de l’exposition. Chacun
amènera son repas.
Dans une volonté déontologique affichée, il est nécessaire de demander à
chaque personne qui a prêté des photos si elle autorise le Musée à les
placer sur le CD-ROM archives que le C.E.V s’est engagé à produire pour
offrir aux généreux donateurs d’images et aux personnes qui nous ont
prêté les objets de l’exposition. M. GIUGE Henri nous donne déjà son
accord oral. Il est convenu de créer un document officiel de mise à
disposition signé par le propriétaire des images pour autoriser le don
envers les autres donateurs. Une quantité très importante d’objets, et
surtout de photos, remplissent déjà le contenu de l’exposition. M. GILI
rappelle que toutes les photos sont rendues à leurs propriétaires après
avoir été scanérisées, photocopiées (laser couleur), celles-ci étant
collées et protégées par Mesdames GILI Anne-Sophie et MARSAL Evelyne.
M. DIANA Pascal, membre CEV, va fournir un travail sur le Maréchal
PETAIN. Un sujet sur GARIBALDI étant aussi en cours de réalisation. M.
THEVENON Luc, Conservateur du musée Masséna mettra à notre disposition
nombre de fanions, insignes, etc… Un courrier devra lui être envoyé dès
que possible pour formaliser ce prêt. Nous attendons aussi un « arrivage
» du 22ème B.C.A en objets et images.
? Lignes budgétaires de l’aménagement et des produits dérivés du Musée
:
Les membres du bureau ont voté 6 voix pour sur 6 l’autofinancement des
objets, fabriqués par Mesdames GILI et MARSAL.
A savoir que l’aménagement du nouvel espace du musée, revient à environ
800 francs. L’aménagement se faisant uniquement par les membres
bénévoles. Il est rappelé que M. MERCADIER a fourni tout le bois
nécessaire, ainsi que la clouterie-visserie. Il envisage même, avec
l’accord de la Mairie de Saint-Martin, de ré-imaginer le projet
Mezzanine, qu’il pourrait mettre en place rapidement au compte du Musée.
Séance clôturée à 21 heures 45.