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et le Chevallier Victor de Cessole

d'après Gérard Chevallier

 

 

  SENTIERS D'AUTREFOIS

 

La Gordolasque était jadis une des branches de la "route du sel" qui alimentait le Piémont à partir de la gabelle du Comté de Nice (tous deux dépendant du Duché de Savoie). Le "Cours Saleya" à Nice (parallèle à la célèbre "Promenade des Anglais" tracée au XIXème siècle le long de la côte à partir de l'ancienne marina) était le point de départ de ce sel si précieux dans les siècles qui ne connaissaient pas d'autre moyen de conservation des aliments. Des cohortes de mulets l'acheminaient vers le Piémont en passant par différents cols alpins, en particulier celui de Tende (Vallée de la Roya) mais aussi par ceux de la carte ci-contre.

LA BRANCHE "VESUBIE"
DE L'ANCIENNE ROUTE DU SEL

Par ailleurs, les "vachers", bergers et autres pratiquants de la vie pastorale ont tracé siècle après siècle avec leurs troupeaux drailles et sentines qui ont marqué le terroir (tassement du sol, acidité dûe aux excréments favorisant la prolifération des orties, framboisiers, épinards sauvages...)

La vallée de la Gordolasque est donc très riche de sentiers et chemins muletiers qui témoignent d'une intense activité humaine passée. A la fin du siècle dernier, Victor de Cessole ne peut accéder aux sites mis en valeur par le C.A.F. que par ces itinéraires. Avec l'invasion automobile, l'asphalte a recouvert certaines portions, d'autres se dégradent petit à petit par manque de fréquentation et d'entretien.

  Je veux rendre hommage à François Le Vast et à sa femme qui ont oeuvré pendant leurs années de retraite à Belvédère pour sauvegarder ces vieux tracés.

 

Ces vieux tracés, je les fréquente depuis longtemps, et j'ai emmené à leur découverte de nombreux jeunes participant au Centre de Vacances que j'ai contribué à créer et que j'ai dirigé pendant des années .


chemin muletier suivi par Cessole
route départementale (mi - XX è S)

En animant, voici quelques années, un "Chantier-Jeunes" de débroussaillage et de réfection de sentiers, j'ai été ému de travailler sur le morceau le mieux conservé de l'ancienne route du sel .

Il faut prendre ce tronçon à partir de la route goudronnée, un peu après le Clot de Leva, (près d'une espèce d'abri-bus en béton à gauche) ou, dans le sens de la descente, un peu avant le pont situé à 200 m en dessous du Chalet des Pionniers. Le chemin muletier empierré contourne la cascade du Ray par-dessus : c'est l'itinéraire évoqué par V. de Cessole.

 

Niçois célèbre, (une grande artère de Nice porte son nom),Victor de Cessole, Président départemental, à la fin du siècle dernier,du Club Alpin Français, a évoqué la Vallée de la Gordolasque dans ses récits de courses en montagne. Je me suis fait le plaisir de reproduire quelques pages d'un de ses ouvrages, déniché par un ami à la Bibliothèque Municipale de Nice , tout en repérant et photographiant ces sites il a plus d'un siècle . (Page en construction...)

 

LA VALLEE DE LA GORDOLASQUE

(courses et ascensions)

(Par MM. VICTOR DE CESSOLE et LOUIS MAUBERT)

(... ) LA BASSE GORDOLASQUE -

De Belvédère, le touriste peut observer le cours de la Gordolasque avant qu'elle ne se jette dans la Vésubie ; il n'a qu'à suivre au bout du village, vers l'Est, le pittoresque chemin qui mène en dix minutes à la chapelle de Saint Blaise : de ce point, qui forme un joli but de promenade, on domine les deux rives de la Gordolasque reliées par les ponts de Véseù et de Cougnas et ornées, en amont et aval du confluent avec le torrent du vallon des Graus, de prairies et de bois de châtaigniers.

Mais pour accéder dans la vallée même de la Gordolasque, il faut prendre le chemin au-dessus de la place de l'Eglise qui, par une petite montée, conduit en quinze minutes à la chapelle du Planet, d'où on a encore une jolie échappée sur le Siruol, Venanson, le Conchet, le Baus de la Frema, la Palù , le Pepoiri, la Cime des Belletz, la Cime de Giraud, les Capelets, la Cime du Diable, le Tuor ; mais le sommet même du Tournairet n'est pas visible.

 

L'église de Belvédère (clocher du XIVe S)

 
Après avoir traversé les prairies du Planet, on monte en dix minutes à la baisse de Saint Jean, à la base du Caire de Tres Crous. Là on laisse à gauche le sentier qui permet , par le vallon et la Croix de Férisson, d'arriver à la Madone de Fenestre en quatre heures de marche. De Saint Jean , on aperçoit devant soi le Mont Pelà et le vallon des Graus, limité dans sa partie haute par la cime du Tuor et la Cime et le Col de Raus. Au nord se détache le Caire de Tres Crous (1903 mèt.) ainsi dénommé parce que les pâturages dits de la Terre de Cour, appartenant aux trois communes de Belvédère, Lantosque et Roquebillière, aboutissent à ce point. Après avoir dépassé le vallon des buissons, le sentier empierré traverse les granges supérieures du Clot de l'Eva, dominé par les roches du Levens qui s'étagent sous des formes bizarres à la base de la Cime de Montjoja. Le Caire de Tres Crous marque l'origine de la chaîne de montagnes qui encadre la rive droite de la Gordolasque jusqu'au Balcon des Gelas, en comprenant la Cime de Montjoja, la Cime de la Valette, la Cime de Prals, le Neiglier, le ponset, le Mont Colomb et le Caire Cabret.

Sitôt que l'on s'avance dans la vallée de la Gordolasque, au milieu des bosquets de châtaigniers, on se trouve déjà en situation de découvrir une bonne partie des premières régions dominantes et notamment les deux Capelets, le Tuor et jusqu'aux environs des granges du Colonel le vallon des Graus, séparé de la Gordolasque par le Caire de Castellaron. Au bout de trente minutes, à partir de Saint-Jean, le chemin conduit sur la rive droite du vallon au lieu dit le Cloté, en face duquel s'élève la Rocca dau Menton. Au Cloté, où se trouvent deux granges tout en haut, s'amorce, à l'aide du pont dal Fraisser, le sentier qui bifurque bientôt pour conduire au col de Raus par la Croix de Trémenil et Terrarossa .

Mais si nous poursuivons sur la rive droite, nous arrivons en moins de dix minutes aux granges de la Lauza, puis, en vingt minutes, aux granges inférieures du Clot de l'Eva ou de Mourré, à la sortie du vallon des Buissons, sous la colline dai Boos. Là s'embranche au pont de Mourré le chemin de l'ubac du Clot de l'Eva conduisant à la cascade par la rive gauche.

 

Primevère

 

Aster mauve

 
Après avoir dépassé le vallon des Buissons, le sentier empierré traverse les granges supérieures du Clot de l'Eva, dominé par les roches du Levens qui s'étagent sous des formes bizarres à la base de la Cime de Montjoja. On rencontre encore quelques granges perdues dans les rochers, et bientôt s'annonce la grande cascade de la Gordolasque, plus habituellement appelée le Raj. On ne l'aperçoit de la route que partiellement. On ne peut guère trouver de ce côté-ci de la rivière de point favorable pour la voir entièrement : c'est à peine si on distingue la partie élevée de la chute. A partir de Belvédère, le trajet a nécessité environ deux grandes heures de marche.

 Le chemin serpente alors au milieu d'un véritable défilé de roches à pic, en passant à côté de la Balma du Raj : en cinq minutes, on surmonte ces beaux rochers qui bordent la cascade. On se trouve ainsi amené au-dessus du niveau des eaux de la rivière , dont le cours devient plus paisible. Le sentier se poursuit également sur un plan plus incliné, tour à tour à travers des pâturages et et au milieu d'un chaos de blocs éboulés de la roche du Pas dal Giou (Levens). Le pont d'Emburlo, conduisant au col de Tréménil, fournit un nouveau moyen de communication avec la rive gauche.

Le touriste qui, de Belvédère, compte limiter sa promenade à la visite de la cascade, aura tout intérêt à s'engager , à partir du pont du Clot de l'Eva, (une heure vingt minutes du village), sur le sentier de la rive gauche , non indiqué par les cartes : cette voie, que nous conseillons,offre en été le grand avantage de ne pas être exposée au soleil, comme celle que nous venons de suivre, et de se dérouler au milieu de l'agréable forêt de mélèzes dite de l'Ubac du Clot de l'Eva.

Aconit napel

 

Aconit tue-loup

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En quarante-cinq minutes de marche, on est conduit aux deux granges du Raj, en face de la cascade.Cette superbe chute, l'une des plus pittoresques des Alpes Maritimes,se divise en deux branches essentielles, qui sont elles-mêmes coupées par plusieurs rochers garnis d'aulnes et de cytises.

 La cascade principale a une quarantaine de mètres de hauteur et tombe comme dans un gouffre, d'où l'eau rejaillit en une poussière blanche. Les roches déchiquetées qui la surplombent au Nord-Ouest, sur la rive droite, prennent le nom de Caire de Garnier ( Le général Garnier aurait campé en cet endroit lors des guerres de la première République, et les traces du campement sont encore apparentes. ) et forment ensuite le Serre de Boscaglia, tandis qu'un peu vers l'ouest les curieux rochers du Levens dominent la vallée. Le Raj de la Gordolasque n'est pas un des moindres attraits de cette région : le spectacle qu'il offre est si impressionnant qu'il n'a pas besoin d'être recommandé à l'attention du visiteur.

Des granges du Raj, qui s'élèvent non loin du vallon de ce nom, le sentier remonte en lacets sur une petite côte, en haut de laquelle la rivière devient moins tumultueuse. Elle coule tranquillement dans une fausse plaine au milieu de blocs, où se trouve le pont d'Emburlo. Il faut quinze minutes environ pour se rendre des granges au pont. C'est à ce point que nous fixons la limite de la Basse Gordolasque. Nous allons rentrer dans la région moyenne de la vallée, qui présente des sites plus variés et plus intéressants que ceux de la partie inférieure. 

La cascade du Ray accessile par la route moderne

 

 

LA MOYENNE GORDOLASQUE

A partir du pont d'Emburlo, on commence à apercevoir le cirque des premières montagnes de la Gordolasque. Le chemin de la rive droite est dominé par les rochers de Garnier, au milieu desquels subsistent encore les restes de la Vastera de ce nom, abandonnée depuis de nombreuses années.

Avant de traverser le torrent du vallon de la Vallette, on entre en territoire italien, dont la limite est marquée sur un rocher par la lettre F, avec la date de 1860, tandis que la lettre I est dessinée de l'autre côté du vallon de la Valette, sur un petit rocher rond, près d'une grange. Sur un mamelon en face s'élève une croix, non loin de laquelle a été gravé un second I.

La Gordolasque, glissant à travers des roches lisses, décrit deux coudes au milieu des prairies : le torrent du vallon de la Valette débouche entre ces deux contours, auprès desquels paraissent deux granges . En arrivant par un raidillon près de la croix, un peu avant les granges d'Engiboi, on peut déjà remarquer quelques-uns des sommets notables qui ceignent la vallée et notamment les Cimes de la Valette, de Prals, de Paranova, les contreforts du Neiglier, le Clapier, la Tête du Lac Autier, la Cime de Lusiera, le Caire Cabri, et le Mont Capelet.

On est bientôt rendu aux granges d'Engiboi (1511 mèt.), qui forment la plus importante agglomération de la vallée : elles sont situées presque sur le cône de déjection du torrent du vallon de la Valette. Dans cette partie de la vallée coupée par la frontière franco-italienne, la ligne de confin, au lieu de suivre une direction régulière, se poursuit très capricieusement : en partant de la Croix de la Valette, elle côtoie le vallon du même nom pour traverser ensuite la Gordolasque, dont elle remonte la rive gauche, tout près du sentier, jusqu'à mi-hauteur entre les granges d'Engiboi et de Saint-Grat. De ce point, elle tourne presque à angle droit pour longer le vallon de la Festoletta et atteindre le Capelet-Inférieur (2420 mèt.).

 

Dominant la vallée, le Chalet des Pionniers, près de l'ancien campement de Garnier.

 

Depuis le quartier EngiboÏ, vue sur le cirque du fond de vallée, avec au centre la Tête du Lac Autier

 
L'une et l'autre rive de la Gordolasque présentent l'apparence d'une forte végétation, les prairies y sont riches et abondantes, et c'est un véritable plaisir pour le touriste que de parcourir cette haute plaine de la Gordolasque qui se développe jusqu'aux granges du Conteut, sur un longueur d'environ deux kilomètres et demi.

Si l'on parcourt le chemin habituel de la rive droite, on arrive en dix minutes aux premières granges de Saint Grat, à côté desquelles s'amorce le sentier de la Faissa de Prals. Après avoir dépassé les dernières granges de Saint Grat, on rencontre la petite chapelle construite sur le point le plus haut du sentier, comme pour dominer toute la région fertile de la vallée. Son état de complet délabrement témoigne de sa vétusté.

 Les Belvédérois y viennent processionnellement en pèlerinage le premier dimanche du mois de juillet. De la chapelle au quartier des Cluots, il faut un peu plus d'un quart d'heure de marche sur une pente douce, au milieu de la prairie.

Si l'on se reporte en aval, aux granges de Saint Grat, on remarquera qu'un petit pont (1509 mèt.), dit de la Cabane, donne accès sur la rive gauche de la Gordolasque. Ce sentier amène en six minutes au lac de la Cabane de la Gordolasque. Ce lac en miniature n'a qu'une centaine de mètres de longueur, et une dizaine environ de profondeur. Alimenté par des sources, le lac a des eaux extrèmement claires ; aussi la commune de Belvédère, qui en est propriétaire, l'a-t-elle peuplé de truites, qui ont admirablement réussi. Les gens de l'endroit y font souvent des pêches fructueuses. Il est à remarquer que le lac de la Cabane est le seul lac de la Gordolasque qui soit poissonneux. Quant au lac Long, au lac Niré et au lac Autier, ils sont probablement trop élevés, ou plutôt la nature de leurs eaux ne favorise pas le peuplement.

Le torrent du vallon de Gouréas - la carte l'écrit Engorias - qui descend en cascades de la haute combe entre la Cime du Capelet et la Cime du Diable, coule tout près du lac, et ses eaux servent à l'arrosage des prairies entourant la cabane des fromages. Exactement en face du lac et de la cabane, s'élèvent en contre-haut de la rivière les granges et la chapelle de Saint-Grat.

 A partir du lac, on peut suivre la rive gauche jusqu'à la rencontre du sentier qui réunit les deux voies de communication du Pas du Trem et du Pas de l'Arpeto, entre la Gordolasque et la Mieniera ; puis, en descendant vers la rivière, on traverse un pont rudimentaire en bois, dit des Sagnes, qui conduit en cinq minutes aux granges desCluots.

Lys Martagon

 

 

Joubarbe

 

 
Ces habitations d'été, placées au milieu de verdoyantes prairies, forment, sur la rive droite, un assemblage à la fois curieux et pittoresque. Elles sont construites sur des roches moutonnées, qui, en cet endroit, enserrent la rivière dans une "clue" étroite. La Gordolasque serpente, en décrivant deux coudes, au pied même des habitations des Cluots. Vers le milieu de la clue, les eaux se précipitent en une cascade bouillonnante, dont on ne soupçonne l'existence que quand on la domine en y arrivant plutôt par la route du lac.

La haute plaine que nous venons de parcourir est extrêmement fertile, ainsi que nous l'avons dit ; les propriétaires des granges se livrent, en dehors des prairies, à la culture du seigle et des pommes de terre. Les pâturages appartiennent à la commune de Belvédère, qui a établi plusieurs bergeries dans la vallée.

Les régions de la Moyenne et de la Haute Gordolasque sont considérées comme terrain neutre et, depuis 1860, les propriétaires ne paient pas d'impôts.

 Les granges des Cluots occupent, à une altitude d'environ 1540 mètres, M., le point central de toute la vallée de la Gordolasque, puisqu'elles se trouvent à peu près à égale distance, au point de vue de la marche, de Belvédère et de la Fous, et qu'il faut y passer en descendant des Pas de Prals, de l'Arpeto et du Trem. Aussi, à défaut du refuge de la Barma, malheureusement aujourd'hui hors d'usage, avions-nous, dans nos diverses campagnes dans la Gordolasque, choisi les Cluots comme étant l'endroit qui pourrait le mieux faciliter nos courses.

Que de bonnes et agréables soirées n'avons-nous pas passées dans ces huttes, qui après de fortes journées de marche à travers les monts de la haute vallée, nous permettaient de goûter un repos réparateur au milieu de cette nature alpine !

C'est aux Clots que la section ligurienne du Club Alpin Italien avait fixé l'étape entre Saint -Dalmas-de-Tende et la Madone des Fenestres, lors du Congrès du Club Alpin italien en septembre 1896.

Des Cluots, le regard se porte principalement sur les rochers de Muffié et les arêtes du Mont Capelet, qui apparaissent avec leurs sombres dentelures telles que nous avons l'habitude de les voir du littoral.

Marque de l'acidification des sols dûe à la présence séculaire des troupeaux, l'ortie...

 

Les vaches sont encore là ....

 

... les moutons aussi, mais pour combien de temps ? 

 
En remontant la vallée de la rive droite, le sentier amène, en moins de trente minutes, non loin des granges du Conteut qui sont situées au pied du Caire de Contut . Cette énorme roche moutonnée se trouve en quelque sorte au milieu de la vallée, obligeant la Gordolasque à la contourner en une espèce de demi-cercle. Toute la partie au Midi du Caire de Conteut est ornée de vastes prairies.

 

Le quartier de la rive gauche s'appelle lou Frégoour (la frega, le frai) parce que les truites, qui ne dépasent pas cet endroit, viennent y frayer. L'encluse ou clue du Conteut mérite une visite et, pour la voir d'une façon intéressante, il faudrait se rendre sur la rive gauche : la Gordolasque s'écoule entre deux barres resserrées, presque dans un couloir, au milieu duquel s'élance une jolie petite cascade.

 

Le rocher du Countet

 La cascade de la Frégude

 
La Gordolasque reçoit un peu plus haut le tribut du vallon d'Empouonrama, qui provient du Pas de l'Arpeto. Presque en face, sur la rive droite, surgit le Castellaron, gros rocher dominant le quartier du Conteut, et, au delà, vers le Nord-est, le Castellaras, dont les escarpements surplombent la vallée. Ces deux rocs forment les extrémités de l'arête Sud-Est de la Cime de Paranova (2560 mèt.)

Le Castellaras

 
La description de V. de Cessole continue évidemment au-delà de l'actuelle entrée du Parc du Mercantour, mais je m'arrête là pour le moment dans ma compilation... A bientôt pour continuer sur les pas d'un des pionniers de l'Alpinisme dans les AM...
 

Sous "Le mur des Italiens",
la Cascade de l'Estrecht

 

En amont du lac de la Foux
 et du refuge de Nice, le Lac long

 

 


Saint-Martin-Vésubie


Roquebillière


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